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Résultats 4,801 à 4,850 de 8,946
| # | Notes | Lié à |
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| 4801 | Contrats de mariage de St-Omer N° 112 | Famille: CASTIER(E) Charles / DECUPPER Marie Benedictine (287589U)
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| 4802 | Contrats de mariage de St-Omer N° 126 | Famille: CASTIER(E) François / GRAVE (DE) Marie Jacqueline (287597U)
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| 4803 | Contrats de mariage de St-Omer N° 13 | Famille: DE(L-LA-LE)CROIX Antoine / CASTIER(E) Jacquemine (287602U)
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| 4804 | Contrats de mariage de St-Omer N° 133 | Famille: FOURNIE(R) Jean Marie / LO(I-Y)(S-Z)EL(LE) Jeanne Françoise (287564U)
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| 4805 | Contrats de mariage de St-Omer N° 165 | Famille: CLA(I-Y)(S) Guillaume François / HAVERLOI(S-X) Marie Louise Josephe (287665U)
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| 4806 | Contrats de mariage de St-Omer N° 172 | Famille: DOLIGER Antoine François / CASTIER(E) Marie Madeleine Pétronille (287620U)
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| 4807 | Contrats de mariage de St-Omer N° 174 | Famille: PIDOUX Henry / LO(I-Y)(S-Z)EL(LE) Marie Anne (287573U)
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| 4808 | Contrats de mariage de St-Omer N° 216 | Famille: CASTIER(E) Martin / MOULIERE Marie Antoinette (287637U)
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| 4809 | Contrats de mariage de St-Omer N° 243 | Famille: LARDEUR Charles Marie / CASTIER(E) Marie Catherine Josephe (287614U)
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| 4810 | Contrats de mariage de St-Omer N° 25 | Famille: CLA(I-Y)(S) Cornille / DECLATTRE Anne (287658U)
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| 4811 | Contrats de mariage de St-Omer N° 38 | Famille: CASTIER(E) Guillaume François / DUFRE(N-S)NE Marie (287600U)
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| 4812 | Contrats de mariage de St-Omer N° 54 | Famille: CASTIER(E) Jacques / DONCKER Marie Noelle (265233U)
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| 4813 | Contrats de mariage de St-Omer N° 71 | Famille: CASTIER(E) Nicolas / CASTIER(E) Marie (267132U)
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| 4814 | Contrats de mariage de St-Omer N° 9 | Famille: CASTIER(E) Martin / ALEXANDRE Jacqueline Françoise (287638U)
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| 4815 | Conv N° 4 le 13/7/1652 : Phles DELENORT laboureur au hameau d'Appe poisse de Campaignes lez Bollenois et Marie SELLIER sa femme, Louys BRISBOULT mary de Jehenne SELLIER, de Wormhoult pays de Flandre, et pour Jacques SELLIER de Wormhoult et Nicolle SELLIER vefve de Jehan DELOBEL de Merswal paroisse d'Acquin, tous les dits SELLIER fréres et sœurs, enffans et hers de déffuncts Jehan SELLIER et Luce CLABAULT sa femme | SE(I)LLIE(R-Z) Nicole (209333I)
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| 4816 | Convention entre héritiers ANSEL en 1729 Gros de St Omer, convention 3 du 12/03/1729 Nicolas ROUSSEL Me cordonnier en cette ville tant en son nom que se faisant fort d'Adrien ROUSSEL et que porteur de procuration de Jean SOUILLART et Isabelle CUVELIER sa femme, François ANSEL demt à Serques, Marie Anne OBERT veuve de Guillaume ANSEL mère et tutrice de Marie Louise et Marie Anne ANSEL ses enfants qu'elle a retenu d'icelui, Gilles REGNIER demt à Difques et Chrestienne ANSEL sa femme, Adrien ANSEL demt à Nortbécourt, Antoine ANSEL demt audit lieu, Nicolas ANSEL demt à Tournehem et Chrestienne ANSEL demt à Bonningues veuve d'Adrien FONTAINE, tous lesdits ROUSSEL CUVELIER et ANSEL héritiers immobiliaires patrimoniaux de Jacques ANSEL vivant demt à Serques d'une part. Jacques RICQUEBEUS laboureur à Quaëdypre châtellenie de Bergues tuteur de Charlotte Dorothée LIYPS petite nièce et héritière dudit Jacques ANSEL d'autre part. Convention pour éviter toutes difficultés au sujet de ladite succession : les premiers comparants abandonnent au profit de ladite LIYPS tous quelconques les biens délaissés par ledit feu Jacques ANSEL, en payant toutes les dettes passives, obsèques et funérailles, à la réserve d'un manoir amazé de maison granges et autres bâtiments situé à Serques contenant cinq quartiers ou environ. Ledit RIQUEBUS ne sait pas la langue française, le contenu lui a été traduit par Mathieu SEIZE laboureur à Esquelbecq, interprète. Blog de Jobris, Joel Brismalin | ANSEL(LE) Chrestienne (147952I)
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| 4817 | Copie de l'acte de décès de Marie Anne Rosalie STOPIN à Eperlecques le 12/11/1842 L'an mil huit cent quarante deux, le treize novembre à midi, pardevant nous maire officier de l'état civil de la commune d'Eperlecques, canton d'Ardres, arrondissement de Saint Omer, département du Pas-de-calais, sont comparus Pierre Antoine GRIVART, âgé de trente huit ans, manouvrier et Benjamin BARBION, âgé de cinquante ans, tourneur, tous deux domiciliés à Eperlecques, proches voisins de la défunte, lesquels nous ont déclaré qu'hier à deux heures après-midi, estdécédée en la maison de Jacques LAVOGIER sise en cette commune, section de Westroove, Marie Anne Rosalie STOPIN, âgée de quatre vingt trois ans, née en la commune d'Acquin, domiciliée à Eperlecques, veuve de feu Antoine ERNOULT, fille des feus Jean Louis STOPIN et de Marie Antoinette DENIS. Nous étant assuré du décès .... Suivent les signatures cité par dapersyn | STOPIN Marie Anne Rosalie (148459I)
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| 4818 | copie de l'acte de mariage daté du 7 novembre 1747 à Longuenesse : " Pierre Philippe HOCHART, fils de feu Philippe tailleur de style et de Marie WGEUX de la paroisse de Maisnil (en Weppe), diocèse de Tournai, demeurant depuis cinq ans environ à la Chartreuse du Val de Ste Aldegonde de cette paroisse et Jeanne Marguerite Françoise DENIELLE, fille de Guislain et de Marie Louise FOREST de la paroisse de Coyecques diocèse de Boulogne ; témoins : Jacques Philippe Florent DENIELLE, frère de la mariée et François OGER, charon de Coyecques, ..." | Famille: HOCHART Pierre Philippe / DENIEL(LES) Jeanne Marguerite Françoise (268836U)
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| 4819 | Copie de l'acte de mariage des époux ERNOULT-STOPIN à Eperlecques le 21/06/1791 L'an mil sept cent quatre vingt onze, le vingt un juin, après la publication de trois bans de mariage préalablement faite en cette église par trois jours de dimanches et fête consécutifs au prône de la messe paroissiale entre Antoine ERNOULT, natif de cette paroisse, âgé de trente huit ans, veuf de Marie Thérèse Agnès DEREUDRE, d'une part et Marie Anne Rosalie STOPIN, fille de Jean Louis et de feue Marie Antoinette DENIS, native de la paroisse d'Acquin, âgée de trente deux ans, d'autre part, sans que se soit trouvé aucun empêchement quelconque, je soussigné curé de cette paroisse d'Eperlecques, ai ce jourd'hui reçu desdites parties leur mutuel consentement de mariage et leur ai donné la bénédiction nuptiale avec les cérémonies ordinaires prescrites par la Sainte Eglise romaine, les fiançailles célébrées en cette église le treize de cedit mois et an, auquel mariage ont été présents Louis BARBION, tourneur en bois en cette paroisse de gabes, Jean Louis DENIS et Jean Baptiste Martin RUYSSEN, clerc de cette paroisse, tous habitants d'Eperlecques qui ont signé avec nous ainsi que l'époux, l'épouse ayant déclaré de ne savoir écrire de ce interpellés Suivent les signatures Cité par dapersyn | Famille: ERNOULT Antoine François / STOPIN Marie Anne Rosalie (299434U)
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| 4820 | Cormettes (62500) | DE(L-LA-LE)CROIX Jean Baptiste Louis Joseph (190444I)
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| 4821 | Cormettes (62500) | DE(L-LA-LE)CROIX Jean Baptiste Louis Joseph (190444I)
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| 4822 | cote 158/1765 à Saint-Omer | Famille: CARRE Pierre / GREBERT Marie Philippine (291268U)
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| 4823 | Coulomby,3 février 1749(Acte de mariage amputé pour l'épouse)(*) "L'an mille sept cens quarante neuf et le troisième jour du mois de février après avoir publié les trois bans par trois dimanches consécutifs aux messes paroissialles de Selles selon le certificat du sieur Noël ptre curé de Selles en datte d'aujourdhuï entre Nicolas Lambert,fils de Charles et de Françoise Guilbert ses père et mère décédés depuis quelques années d'une part de la paroisse de Brunemberg". (sic) suit un grand blanc, d'un quart de page,jamais rempli ,avec les signatures en fin de page, après le blanc,de: Nicolas Lambert,Antoinette Jennequin,Louis Monfait,Jean Lambert,Pierre Ousselin,la marque dudit Jennequin qui a dit ne scavoir écrire et G.Hochart,ptre. cité par ajousse | Famille: LAMBERT Nicolas / Z(E-U)NNEQUIN OU JENNEQUIN Marie Antoinette (259072U)
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| 4824 | Courbière | SIRVEN Guillaume (186957I)
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| 4825 | Courbière | SIRVEN Guillaume (186957I)
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| 4826 | Courbières | SIRVEN Guillaume (186958I)
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| 4827 | Courbières | DA(I-Y)DOU Marie (186938I)
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| 4828 | Courbières | SIRVEN Marie Rose (186924I)
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| 4829 | Courbières | SIRVEN Marie Rose (186924I)
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| 4830 | Courbières | AL(L)EGRE Rosalie (185766I)
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| 4831 | Coureur de bois et fondateur de la baie d'Hudson. On fait souvent remarque qu'il pourrait ?etre n?e ?a Avignon mais ?elev?e ?a Paris, mais Ren?e Jett?e place sa naissance ?a St-Sulpice, Paris, comme ses soeurs qui sont n?ees avant lui. Tortur?e par des Iroquois. Puis grand explorateur avec sont beau-fr?ere M?edard Chouart, dit DesGroseillers. En 1660 il rentre avec DesGroseillers sur la rivi?ere Outaouais. Ils ont vu le petit fort de Dollard des Ormeaux incendi?e et les hommes scalp?es ou d?ecapit?es. Ils avaient une brigade de 60 canots plein de fourrure. On estime la valeur ?a 300 000 livres. Or, le gouverneur d'Argenson confisque la cargaison sous pr?etexte qu'ils n'avaient pas de licence. L'ann?ee suivante ils passent leur cargaison aux Anglais. Il va vivre en Angleterre o?u il marie une fille de John Kirke, de la famille des Kirke de Dieppe qui ont assi?eg?e Qu?ebec en 1628 | RADISSON Pierre (I64859)
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| 4832 | Cournus | BOYER Marie (186914I)
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| 4833 | Cousin de Jacques Viger, de S?eraphin Cherrier et Louis-Joseph Papineau En 1799, apr?es ses ?etudes au Coll?ege de Montr?eal, il est admis au Barreau. En 1808-10 il est ?elu d?eput?e de Montr?eal-Est ?a l'Assembl?ee l?egislative du Bas-Canada. En 1810-16, il est d?eput?e de Leinster ?a l'Assembl?ee. En 1816-30, il est d?eput?e de Kent ?a l'Assembl?ee. En 1828, Viger se rend ?a Londres protester contre les abus de pouvoir du gouvernement Dalhousie. ? son retour, il est appel?e au Conseil l?egislatif. En 1834 il est envoy?e une deuxi?eme fois par la Chambre ?a Londres pour appuyer les plaintes des Patriotes. En 1835-44, il est pr?esident de la Soci?et?e St-Jean-Baptiste de Montr?eal. En 1836, on lui doit la phrase: L'?erable c'est le roi de nos for?ets, c'est l'embl?eme du peuple canadien. Le 4 novembre 1838, suite au soul?evement patriote qu'il soutient financi?erement, il est accus?e de complicit?e et est emprisonn?e pendant 18 mois. Le 16 mai 1840, il est lib?er?e sans proc?es, Viger aura subi l'une des plus longues d?etentions parmi les Patriotes. En 1841-61, il est d?eput?e de Richelieu, Bas-Canada. En 1843-46, il devient Premier Ministre du Canada-Uni en formant un minist?ere avec William Draper, chef des tories du Haut-Canada. Le manque d'appui des Canadiens-fran?cais l'am?ene ?a remettre sa d?emission. En 1848-58 il redevien membre du Conseil l?egislatif En 1858 il se retire de la vie politique. PUBLICATIONS: 1840 M?emoires relatifs ?a l'emprisonnement de l'honorable D.-B. Viger 1844 La Crise minist?erielle Source: Le Curieux No. 26 | VIGER Denis Benjamin (I142240)
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| 4834 | cousin germain: Jehan DU CASTEL référence: FF 1311. folio 123. acte du 28/06/1602 à Steene: partage des biens de Chétienne PIGOUCHE fa Mtre Pierre PIGOUCHE et Anne CAUDRONNIER. tuteur du côté paternel: Frans PIGOUCHE. biens pour les enfants: +Michel, Christine XGuillaume MECKERCKE, Anne X Jean VIDELAINE, Marguerite X N...GHERAERT(??) et Adrienne X Pierre DESMONCHEAUX. terres sur Boeseghem, Blareghem, Takinghem(?), Steene, Rocquestoir | PIGOUCHE Chrétienne (154248I)
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| 4835 | Crecques | Famille: DAVIS Jean François / GOZ(E-ET) Jeanne Françoise Augustine (321052U)
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| 4836 | Crecques paroisse St Honoré - Mametz | Famille: LIEVIN Jean François / WAMBERGUE Marie Madeleine (338971U)
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| 4837 | crée Comte de Riberac en 1595 , Maréchal de Camp des Armées du Roi , Mestre de Camp d'un Régiment d' Infanterie en 1619 , Député de la Noblesse du Périgord aux états Généraux tenus à Paris en 1614. d'apres La Chenaye Desbois deces: décédé au cours du Siege de La Rochelle d'apres La Chenaye Desbois | D'AYDIE RIBERAC Armand (83450I)
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| 4838 | CRENLEUX Pierre 63 ans témoins : CRENLEUX Pierre Michel son fils témoins : CRENLEUX Jacques Son fils roucou michel | CRENLEU(X) Pierre (21971I)
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| 4839 | Cresques | Famille: PLANCHEZ Jean François / CLOBET Marie Philippine Thérèse (312409U)
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| 4840 | Cros | VALAGUIER Jeanne (186965I)
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| 4841 | Cros | SIRVEN Antoine (186964I)
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| 4842 | Cros | SIRVEN Antoine (186964I)
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| 4843 | Cros | SIRVEN Guillaume (186958I)
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| 4844 | Cuhem (hameau de fléchin) | BRO(C)QUET Renée (202391I)
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| 4845 | cultivateur | LEMAI(S)TRE Augustin( (142279I)
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| 4846 | Cur?e de Saint-Rosaire (1953-1960). Cur?e de Notre-Dame-de-l'Assomption (1960-1979). Nomm?e membre du Conseil presbyt?eral le 24 novembre 1966. Vicaire forain pour la ville de Victoriaville (1967-1968). Retrait?e ?a Victoriaville le 1er ao?ut 1979. | BEAUDET Robert (I172287)
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| 4847 | CYR, LOUIS (baptis?e Cyprien-No?e, il porta ces pr?enoms jusque vers 1880), ouvrier agricole, b?ucheron, halt?erophile, policier et athl?ete d?exhibition, n?e le 10 octobre 1863 ?a Saint-Cyprien (Napierville, Qu?ebec), deuxi?eme des 17 enfants de Pierre Cyr, b?ucheron et cultivateur, et de Philom?ene Berger ; le 16 janvier 1882, il ?epousa ?a Saint-Jean-de-Matha, Qu?ebec, M?elina Comtois, et ils eurent une fille et un fils, qui mourut en bas ?age ; d?ec?ed?e le 10 novembre 1912 ?a Montr?eal et inhum?e le 14 ?a Saint-Jean-de-Matha. Enfant ?a l?esprit vif, au caract?ere ?a la fois volontaire et doux, Cyprien-No?e Cyr est, d?es son jeune ?age, dou?e d?une force exceptionnelle, h?erit?ee semble-t-il de son grand-p?ere paternel, Pierre Cyr, coureur de bois, trappeur et chasseur, mais aussi de sa m?ere, elle-m?eme d?une carrure imposante et d?une force au-dessus de la moyenne. La force exceptionnelle du jeune gar?con est d?ailleurs tr?es t?ot valoris?ee par le milieu familial, qui voue un int?er?et particulier aux hommes forts et aux exploits de force physique en grande vogue ?a cette ?epoque. Apr?es avoir fr?equent?e l??ecole de son village de 9 ?a 12 ans, Cyr commence ?a travailler dans un camp de b?ucherons pendant l?hiver et ?a la ferme le reste de l?ann?ee. Il y r?ealise ses premiers exercices de force physique devant le public et il impressionne d?ej?a son entourage par ses prouesses. Sa m?ere d?ecide alors, selon l?un des biographes de Cyr, qu?il doit, ?a l?instar du personnage biblique Samson, se laisser pousser les cheveux, qu?elle-m?eme frise r?eguli?erement. En 1878, la famille Cyr ?emigre aux ?Etats-Unis dans le but de faire fortune et s?installe ?a Lowell, dans le Massachusetts. C?est durant son s?ejour ?a Lowell que Cyprien-No?e change ses pr?enoms pour celui de Louis, qui se prononce plus ais?ement en anglais. Il occupe diff?erents emplois, notamment dans une usine de textile, une ferme et un atelier de m?ecanique. L?a encore, sa prodigieuse force physique fait rapidement sa renomm?ee. ? 17 ans, Cyr p?ese quelque 230 livres. C?est un gar?con ?a l?allure nonchalante et emp?at?ee, dont les joues roses et les longues boucles blondes lui donnent un air de b?eb?e qui lui attire bien des moqueries. Il aime jouer du violon, danser, s?entra?iner ?a lever des poids et halt?eres, ainsi qu??a faire ?etalage de sa force. Vers l??age de 18 ans, il participe ?a son premier concours d?hommes forts ?a Boston, o?u il r?eussit ?a lever un cheval de terre. Le gros b?eb?e est alors pris au s?erieux et devient respect?e dans son milieu. En 1882, la famille Cyr revient au Qu?ebec. Cette m?eme ann?ee, Louis se marie et, pour gagner sa vie, il se fait b?ucheron. Au camp, o?u les distractions sont plut?ot rares, l?exhibition de sa force est l?une des activit?es les plus pris?ees. Il r?ealise exploits par-dessus exploits, dont le caract?ere exceptionnel est rapidement rendu public. Au printemps de 1883, dans le but d?am?eliorer sa situation financi?ere, Cyr d?ecide de retourner ?a Lowell avec sa femme. Il est chaleureusement accueilli par les Franco-Am?ericains, d?ej?a tr?es au fait de ses exploits. Un d?enomm?e MacSohmer lui propose alors d?organiser une tourn?ee de spectacles dans les Maritimes et au Qu?ebec au cours de laquelle il ferait des num?eros de force physique et lancerait des d?efis aux hommes forts. Cette tourn?ee, qui commence au Nouveau-Brunswick, ne dure en fait que quelques mois et ne rapporte rien ?a Cyr, qui doit quitter l?escroc MacSohmer. Cyr gagne alors le village de Sainte-H?el?ene (Sainte-H?el?ene-de-Bagot, Qu?ebec), o?u ses parents se sont install?es. Il convainc sa famille d?organiser une tourn?ee de spectacles o?u il pr?esenterait ses propres num?eros. Son p?ere accepte de prendre en charge cette organisation. La troupe Cyr, comme on l?appelle ?a l??epoque, se produit dans toute la province et remporte un ?enorme succ?es. Louis a le sens du spectacle et r?eussit facilement ?a persuader le public qu?il m?erite amplement le titre d?homme le plus fort du Canada. Toujours en 1883, Cyr se voit offrir un travail plus s?edentaire, celui de policier ?a la ville de Sainte-Cun?egonde (Montr?eal). Il occupe ce poste jusqu?en d?ecembre 1885 puis repart en tourn?ee avec une troupe d?athl?etes mise sur pied par le Montr?ealais Gustave Lambert, lutteur, boxeur et leveur de poids. En mars 1886, il affronte ?a Qu?ebec David Michaud, reconnu comme l?homme le plus fort du Canada. Cyr l?emporte facilement en levant d?un bras une halt?ere de 218 livres (contre 158 livres pour Michaud) et en soulevant avec son dos 2 371 livres (contre 2 071 pour son adversaire). Le titre d?homme le plus fort du Canada revient d?es lors ?a Cyr. Vers 1888, Cyr acquiert une taverne ?a Montr?eal, rue Notre-Dame, o?u il ex?ecute quelques tours de force pour amuser les clients. Toutefois, c?est sur sc?ene qu?il se sent le plus ?a l?aise et, apr?es moins d?un an, il reprend ses tourn?ees avec sa propre troupe, dont font partie, entre autres, sa femme et son fr?ere Pierre. Il parcourt le Canada et les ?Etats-Unis. En 1890, il se joint ?a une troupe am?ericaine et s?impose de plus en plus comme l?homme le plus fort du monde. ? l?automne de l?ann?ee suivante, il part pour l?Europe, o?u il veut mettre ce dernier titre enjeu. Il se produit principalement en Angleterre, mais les grands champions n?osent l?affronter et lui conc?edent son titre. De retour au pays en mars 1892, Cyr et l?homme fort Horace Barr?e signent un contrat d?un an avec le cirque am?ericain des Ringling Brothers. En 1894, les deux hommes mettent sur pied leur propre cirque, compos?e d?athl?etes, de jongleurs, d?acrobates et d?hommes forts. Pendant cinq ans, le cirque se produit sur les sc?enes canadiennes et am?ericaines. Toutefois, ?a compter de 1900, la sant?e de Cyr se d?et?eriore ?a cause de son embonpoint, de ses exc?es de table et de sa vie trop s?edentaire. Atteint de la maladie de Bright, il doit se retirer pr?ematur?ement de la comp?etition et de l?exhibition de tours de force. Il s?installe dans une ferme ?a Saint-Jean-de-Matha, o?u il re?coit ses amis, raconte ses exploits et, de temps ?a autre, se mesure ?a des comp?etiteurs qui veulent s?accaparer de son titre de champion, comme le g?eant Beaupr?e [?Edouard Beaupr?e*] en 1901. Le dernier en liste, Hector D?ecatie, que Cyr affronte au parc Sohmer ?a Montr?eal en f?evrier 1906, ne peut le lui ravir, mais Cyr, qui conna?it ses limites et son ?etat de sant?e pr?ecaire, en profite pour l?eguer lui-m?eme son titre au jeune aspirant. Louis Cyr meurt ?a Montr?eal, ?a l??age de 49 ans, dans la r?esidence de sa fille, le 10 novembre 1912. D?es le lendemain, les journaux diffusent la nouvelle. Le Soleil et la Presse, notamment, annoncent son d?ec?es ?a la une et consacrent, tout comme le Devoir et la Patrie, plusieurs colonnes ?a sa biographie et ?a l??enum?eration de ses exploits. Le journaliste du Soleil souligne que ? sa glorieuse carri?ere d?athl?ete [...] a contribu?e ?a jeter sur [la] race [canadienne-fran?caise] l??eclat d?une r?eputation de force et de vigueur physique peu commune ?. Ses contemporains ont immortalis?e leur h?eros par une statue fort imposante, maintenant propri?et?e du Mus?ee de la civilisation ?a Qu?ebec, et qui permet aux Qu?eb?ecois de ne pas oublier Louis Cyr, dont on dit encore que les exploits sont rest?es in?egal?es. | CYR Louis (I120299)
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| 4848 | D'ABZAC Originaire du Périgord ou est une forteresse de son nom .Cette maison est reconnue par son ancienneté pour une des premiéres de la province , qui a été son berceau.Une généalogie de feu charles d'HOZIER remonte la filiation à Hugues d'ABZAC , qui fit bâtir la forteresse d'Abzac sur la Dordogne . Il était en 1220 Chevalier Baron de Languais , sans doute du chef d'Helinette de LANGUAIS , sa femme . La même généalogie , lui donne pour fils Aimar d'ABZAC , sénéchal pour le roi d'Angleterre. Si on l'en croit encore , cet Aimar d'ABZAC fut pére de Pierre . Le juge d'armes de France ne doute point que la maison d'ABZAC n'ait toute cette ancienneté , et même qu'elle ne puisse encore aller au delà. Mais comme feu M Charles d'HOZIER n'a point eu les titres originaux , garants des filiations , et que tout autre témoignage , quelque fidéle qu'il puisse être n'a point lieu , on ne compte la descandance que depuis Hugues d'ABZAC , chevalier Banneret en 1338 . N'ayant point reçu de mémoires particuliers de cette maison , nous parlons d'apres ce qu'on lit dans l' armoirial de France , reg II , part 1. Hugues d'ABZAC Chevalier Banneret en 1338 servit avec deux ecuyers és parties de Guyenne , sous Pierre de MARMANDE , sénéchal du Périgord. d'apres La Chesnay Desbois armes : d'argent , à une bande d'azur , chargée au milieu d'un bezan d'or , à la bordure d'azur , chargée de neuf bezans d'or. | D'ABZAC Hugues (83529I)
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| 4849 | D'après Daudruy: pages 240 et 239 (Familles anciennes de l'Audomarois) : Probablement laboureur à Tatinghem. Acquit la bourgeoisie de Saint-Omer en 1540 et épousa vers cette date Barbe Dubois. La filiation directe commence par lui. Selon Daudruy : la famille Hovelt est mentionnée à Saint-Omer, ou dans ses environs immédiats, dès la fin du XIV° siècle. Il existe une seigneurie de Hovelt à Polincove mentionnée en 1421 à Jehan de Hovelt (Cartulaire de la chartreuse de Val Sainte-Aldegonde). Dans Justin de Pas (N° 369) : en 1397 : vente d'un fief tenu de Jehan de Hovelt. | DE HOVELT Nicolas (4243I)
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| 4850 | d'un coup de sabot de cheval à la tête | LO(I-Y)(S-Z)EL(LE) Marie Catherine (108811I)
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