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Résultats 6,051 à 6,100 de 8,946
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| 6051 | N° 69 le 30/1/1651 : Thomas CADART fils à marier de feux Robert et de Jenne GEUZE, ses pére et mére, adsisté de Robert et Jean CADART ses fréres, (barré : et Robert CADART fils Jean) Anthoine VIERLOIT mary de Nicolle CADART sœur au ditmariant, de Robert CADART fils Jean et Jacques LHOIR mary d'Isabeau CADART, ses cousin et cousinne germains ; Anne BOURSIER fille à marier de déffuncts Jean et Margte LEMAISTRE, ses pére et mére, adsistée de Pierre BOURSIER lieuten de bailly et d'Aman de la ville et Comté d'Arcques et de Jean BOURSIER ses fréres et de Guilliaume BOLLART son parin et cousin du costé maternel ; époux : manoir, terres à Arcques à luy escheues en partage après le tspas de ses pére et mére. | Famille: CADART Thomas / BOURSIER Anne (272114U)
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| 6052 | n° 89 page 987 | FOVET Emilie Félicité (203987I)
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| 6053 | N°65 30.12.1807 Honoré Joseph QUEVRE (ne signe pas) militaire pensionné domicilié en cette commune agé de 33 ans majeur fils de Jacques décédé en cette commune le 6 floréal an 7 et d'Augustine MARTIN décédée idem le 9 nivose an 5 x Jeanne Françoise Joseph VERVOITTE (qui signe) agée de 39 ans domiciliée en cette commune majeur fille de Pierre Antoine décédé le 16 messidor an 10 et de Marie Jeanne Françoise BOULIN décédée le 04.10.1781 et veuve de Pierre Louis DESSOLY décédé le 03.02 dernier Publications faites devant la principale porte de notre maison commune savoir la premiere le 20 et la seconde le 27 de ce mois à l'heure de midi Témoins : en présence de Pierre Joseph BOULIN (qui signe) agé de 39 ans cousin à la mariante Xavier VERVOITTE (qui signe) agé de 41 ans frère à la mariante Jacques ROUSSEL (qui signe) agé de 29 ans et Francois CHEVILLARD (ne signe pas) agé de 54 ans domiciliés en cette commune Signé le maire d'Aire DESLION" | Famille: QUEVRE Honoré Joseph / VERVOITTE Jeanne Françoise Josephe (326454U)
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| 6054 | N°8 15 brumaire an 14 Pierre Louis DESOLIS (ne signe pas) agé de 49 (ans) né le 31.01.1757 à St Quentin hameau de cette commune cabaretier domicilié en cette commune majeur fils de Pierre Louis décédé à St Quentin 09.06.1764 et de Marie Françoise DEFRANCE décédée (le) 14.07.1783 x Jeanne Françoise Josephe VERVOIT (qui signe) agée de 38 ans née le 12.07.1768 en cette commune y domiciliée majeure fille de Pierre Antoine décédé en cette commune le 16 messidor an 10 et de Marie Jeanne Françoise BOULIN décédée en cette commune le 04.10.1781 publications faites devant la principale porte de notre maison commune savoir la première le 5 et la seconde le 12 de ce mois à l'heure de midi en présence de Séraphin BOUBERT (qui signe) agé de 30 ans Charles BOURDREL (qui signe) agé de 56 ans Nicolas COUTELET (qui signe) agé de 63 ans Xavier VERVOIT (qui signe) agé de 40 ans frère à la mariante (tous 4 domiciliés en cette commune) Signé le maire d'Aire DESLION" | Famille: DESSOLIS Pierre Louis / VERVOITTE Jeanne Françoise Josephe (326452U)
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| 6055 | o 27.02.1767 Cassel ND " Marie Françoise Constance DE PREZ fa Nicolas François natif de Bavinchove fs Pierre Jean et de Pétronile VYOEN, sa femme, de cette paroisse P : Mathieu VYOEN, grand père M : Marie Françoise DE PREZ qui ont déclarés de savoir écrire " Cité par cvantours | DE(S)PRE(IS-S-T-TS-TZ-Y-YS-Z) Marie Françoise Constance (146490I)
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| 6056 | O.M.I. | ALLARD Raymond (I32934)
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| 6057 | O.M.I. | CHARLAND Robert (I135653)
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| 6058 | Oblat | COT?E Edmond (I137554)
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| 6059 | Oblat | MARCOUX Rodrigue (I146448)
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| 6060 | Oblate | MARCOUX B?eatrice (I146449)
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| 6061 | Oblate | MARCOUX Gabrielle (I146447)
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| 6062 | Obligation N° 149 le 24/6/1648 : Jean VOLSPET fils Noel, réfugié à St Omer de Tatinghem ; Jean HOCHART bailly d'Acquin et Franchoise DE QUERCAMP sa femme ; un droict cédé au proffit des dits seconds, une rente créée par à pnt déffunct Guichart DE QUERCAMP, pére dela dite Franchoise, à la caution du dit VOLSPET, quy en auroi acquis le droict par transport des hers de Barbe DELEBARRE. | QUER(C-QU)AM(P-T) (DE) Pasquette (127681I)
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| 6063 | OBS : "Témoins : Jacques COUBRONNE; Jean BOURIGNON" | Famille: B(AU-O)DEL(LE) Guillaume / QUESTRE Barbe (328593U)
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| 6064 | Observations : Dispense du 3 et 4ème degré à cause de Catherine PRIEUR d'après les BMS de Preures | Famille: DUVIOLIER Charles / PRIEUR Catherine (307038U)
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| 6065 | Observations : divorce le 27 Germinal an 3: Thomas Joseph MOLIN journalier de Mametz, agé de 47 ans; Jenne Isbergue VENACQ de Mametz, agée de 64 ans; témoins: Heugéne ODENARDE de Mametz, agé de 60 ans; Jean Nicolas DELAIRE de Mametz, agé de 50 ans; Jacque LEMAIRE de Mametz, agé de 40 ans; Jean François MANTEL officier municipal de Mametz, y demt, agé de 55 ans. les quels Thomas Joseph MOLIN et Jenne Isbergue VENACQ ont requis prononcer la dissolution, contracté le 21/4/1773 en cette commune. | Famille: MOULIN Thomas Joseph / VENA(C)QUE Jeanne Isbergue (273457U)
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| 6066 | Observations : enfant illégitime; chez Nicolas CAPRON (S) et Pétronille DENIELLE (N). | MOLLET Marguerite (218772I)
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| 6067 | Observations : les époux ont eu une fille le 2/9/1745 nommée Marie Josèphe LEFEBVRE; le dit Charles LEFEBVRE, milicien, rapporte une permission signé du capitaine et approuvée par Sr CUSSEUR de CHARNACE commandant au bataillon de la manier. Lemaire | Famille: LEFEBVRE Charles / DUMINIL Jeanne (258788U)
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| 6068 | Occis et brulé dans le moulin à poudre d'Esquerde | LEGAY Christophe (47102I)
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| 6069 | Officier d'état civil : REVEL, Philippe Jacques - Présent : BERNAST, Nicolas Joseph - Déclarant : STYVELYNCK, Pierre Jacques Augustin | COL(L)A(E)RT Marie Rosalie (106599I)
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| 6070 | On a répété souvent, et peut-être avec raison, que les habitants des faubourgs de St-Omer parlaient entr'eux un langage que seuls à peu près ils pouvaient comprendre : ancien jargon celtique, mélangé de wallon et d'allemand, qui ne se trouve différent de celui qu'on parle en Flandre parce qu'il n'a pas suivi comme lui les mêmes changements. (1) Selon Pellison , ce peuple ne parle ni flamand, ni wallon, mais il a un langage qui lui est propre et qu'on nomme " Bésin ", (2) qui n'est point entendu à St-Omer, ni aux environs. En effet quoiqu'ils demeurent aux portes d'une ville de France, quoique chaque jour ils viennent dans les marchés de St-Omer, on remarque encore qu'ils savent très-imparfaitement le français, et même qu'ils se soucient fort peu de l'apprendre. Cette observation s'applique plus particulièrement aux Lyzelards, car depuis la révolution de 1789, la langue française n'est plus inconnue des Hautponnais. on prétend cependantque leur idiome s'écrit exactement comme le flamand deGand, d'Ypres et des autres villes de Belgique. Malgré les modifications que les siècles ont insensiblement fait subir à la population d'une partie de nos faubourgs, le flamand y est toujours resté la langue dominante ; cependant avec lesétrangers, ils parlent quelquefois un français vicié par une mauvaise prononciation. Enfin, on peut dire que leur langage diffère assez, pour la prononciation surtout, de celui qu'on désigne par les noms de bas-allemand, hollandais ou flamand, pour que les habitants de Lyzel et les Flamands proprement dits ne puissent s'entendre facilement qu'après avoir passé quelque temps ensemble. On voit par là qu'il est au flamand ce que le patois des paysans de nos provinces est aufrançais. On y rencontre aussi beaucoup de mots allemands et un petit nombre de mots anglais ; quelques uns sans aucune différence de prononciation. On laisse à décider lequel de ces langages se rapproche le plus du saxon, leur source commune. " L'étude des dialectes, idiomes et patois, cette étude en apparence si stérile et si peu attrayante, offre pourtant à ceux qui s'y livrent, beaucoup de charmes et des résultats plein d'intérêt et d'utilité. L'histoire d'un peuple, ses moeurs, son génie, ses habitudes, se retrouvent pour ainsi dire tout entiers dans sa langue. " " Comment se fait-il que dans les cantons de Bailleul, Cassel et Hazebrouck, on parle flamand, tandis que ces cantons sont enclavés de toutes parts dans des contrées où le peuple parle wallon ? " (3) Cette observation est non moins justement applicable aux foubourgs de St-Omer et à quelques lieux environnants. Les étymologies des noms d'un grand nombre de communes de l'arrondissement de St-Omer prouvent effectivement que la langue flamande y étaient jadis en grand usage, et il n'est pas inutile de rappeler ici que les sentances de nos magistratsse prononçaient encore dans le 16ème siècle en cette langue sur le doxal, et que ce ne fut qu'à partir de 1593 qu'elles se publièrent en français. Les patois s'en vont... Cependant, comme leur vivacité et leur énergie sont parfois intraduisibles dans le langage du beau monde, il n'est pas inutile dans chaque localité, a observé avec raison l'habile et spirituel éditeur des Archives du Nord, de publier des livrets qui serviront plus tard de jalons aux lexicographes futurs, dans leurs recherches sur la grandeur et la décadence des...patois.(4) selon le président de l'académie de Dijon, (5) ce serait une bibliographieassez curieuse que celle qui offrirait la liste raisonnée de tous les ouvrages en dialecte vulgaires ou patois. La collection des mémoires des antiquaires de France renferme une infinité d'articles sur les patois, plusieurs entr'autres surcelui des Hautponnais. La France littéraire a remarqué avec intérêt les travaux déjà faits sur cette matière par cette société savante, et a regretté qu'elles ne les eût pas continués dans son tome X. (6) A cette occasion , cette intéressante revue parle de nos faubourgs comme ayant été occupés par les Saxons qui marchaient à la conquête de l'Angleterre, opinion que nous avons déjà discutée dans le chapitre de l'Origine. Vers 1807, l'on entreprit au ministère de l'intérieur une collection de divers idiomes ou patois de France. Pour sujet de comparaison, on choisit la parabole de l'Enfant Prodigue, à cause de sa juste étendue et de la simplicité de la plupart de ses expressions. Le 13 mars et le 23 juin 1810, M. de Montalivet, ministre de l'intérieur, demanda des renseignements très-étendus sur les habitants de nos faubourgs ; ils lui furent adressés par l'administration locale, le 27 avril et le 23 août suivants. Le 11 octobre de la même année, l'autorité supérieure sollicita le complément de l'aperçu curieux déjà produit sur cet objet. Ce complément fut communiqué le 25 du même mois. Au commencement de 1820, la société royale des antiquaires de France demanda des éclaircissements sur le même sujet. M. le maire de St-Omer adressa à cet effet le 26 janvier de ladite année, une chanson flamande contenant la description des occupation des Hautponnais : " J'aurais voulu la faire mettre en musique, dit-il alors, pour donner une idée plus juste de la mesure des syllabes, je n'ai pu y parvenir; au reste, cela n'est pas strictement necéssaire, non plus que d'indiquer la prononciation des notes. Le jargon de nos Lyzelards n'étant pas une langue écrite, on a représenté les sons en suivant l'ortographe du flamand proprement dit, de sorte que tout flamand la lit de la manière qu'elle doit être lue. " " C'est M. Van Troyen, père, qui a eu la complaisance de faire ce petit travail : il s'est fait chanter plusieurs fois les différents couplets, et une fois assuré du son exact et de la division par ligne, il se l'est fait dicter mot à mot ; il a ensuite fait la traduction. " " Quant à la parabole de l'Enfant Prodigue, je n'ai pu l'avoir écrite dans le patois du faubourg, parce que les natifs ne savent pas écrire le jargon qu'ils parlent, et que M. Van Troyen, (7) le seul que j'aie trouvé capable du premier travail, c'est à dire d'écrire et de traduire la chanson, est mort au moment où il aurait pu s'occuper de nous fournir cette parabole. M. Siméon, préfet du département, (8) donna communication de la notice sur les usages et le langage des habitants du Haut-Pont, ainsi que que de la chanson flamande, aux antiquaires de France qui insérèrent ces pièces que nous avons signalées à la fin de notre chapitre d'introduction, dans le tome 3 de leurs mémoires (1821, pages 357 à 370). - ( La traduction de la parabole de l'Enfant Prodigue, en patois populaire de la ville de St-Omer, par M. Aubin, bibliothécaire,envoyée en 1810 par M. Wattringue, maire, se trouve à la page 469 du tome 6 des mêmes mémoires. 1824). L'érudit auteur de Notre-Dame de St-Omer a observé justement que, quoique la ville fût toute française de langage, les Lyzelards surtout ne parlaient que la langue flamande, et qu'il en était résulté souvent la nécessité de traduirele procès-verbal et les paroles adressées au peuple dans les deux idiomes. Dans une chanson vulgaire, le voyage de Gilles Dindin aux Grandes-Indes à Dunkerque, se trouvent ces lignes moqueuses sur le langage des Hautponnais: "J'avais toujours envie de rire En entendant parler flamand ; C'est un si drôle de patois ! Ils parlent tous ensemble... Cette vieille et joyeuse chanson dont nous aurons occasion de reparler, contient quarante-cinq stances de huit rimes ; (9) l'on a dit avec vérité que " plus d'un antiquaire avait trouvé dans de vieilles chansons, dans des complaintes ou soties, des preuves ou des matériaux qui avaient été négligés par les historiens. " (10) Le Messager des sciences et des arts de la Belgique a annoncé la publication d'un essai historique sur le chant national des Belges, suivi de chansons notées, dont les airs remontent au temps classique de leur musique nationale ; on ne saurait trop encourager une entreprise qui tend à consacrer les traditions les plus antiques. - " Ces chansons de circonstances ont été pour la plupart oubliées avec les événements qui les avaient fait naître, et il n'en est resté jusqu'à nos jours que de faibles vestiges dans les chants populaires des campagnes. "(11) Quant à la chanson flamande, insérée dans le tome 3 des antiquaires de France, elle renferme, neuf stances de neuf lignes chacune ; en voici la dernière avec le texte flamand : TEXTE Wy gen met ous goet gehut wel gemoet Om te verkoppen tot Berghen Wy gaen met ous goet gehul wel gemoet Tot Dunkerken oek met verspoet Naer Cales et Grievelynghe Over al met schoone dynghem Niet met caffé noch chocolade Maer wel schoone bloem cools en salade Ence aujoens en heet coetera. TRADUCTION. Nous allons fort contents avec nos denrées, Pour les vendre à Bergues ; Nous allons forts contents avec nos denrées A Dunkerque aussi avec les diligences A Calais et à Gravelines, Surtout avec de belles choses, Non pas du café ni chocolat, Mais bien avec de beaux choux-fleurs et salades, Et avec oignons, et coetera. (1) De Lamartinière (2) Le Bésin est un petit pays très fertile et célèbre dans l'histoire de Normandie. Là était, dit-on , la Lotinga-saxonica, canton où Charlemagne relégua un certain nombre de familles saxonnes. (Mém. des antiq. de France. T.7.) (3) Leglay. - On parlait wallon, en Artois, qui est un français grossier et corrompu. - (Bergier.) (4) Arch. du Nord T. 4. liv. 1. (5) Gabriel Peignot. (6) France Littéraire. Mai 1834. (7) M. Van Troyen, père,ancien notaire, homme de moeurs patriarcales, est décédé à Longuenesse, le 18 novembre 1819. (8) Et non Calaisien. Mém. des ant. de France. t. 3. p. 86 et 357. (9) Elle fut composée en 1709 par Antoine Pronier du Haut-Pont, épicier, surnommé Gilles Dindin, pour la récréation et l'amusement de ses amis ; elle fut imprimée chez Fertel à St-Omer en 1736. Un cabaret à l'enseigne des Grandes-Indes et situé en dehors la porte à Dunkerque donna lieu à cette facétie. Il était renommé pour sa bonne chère, et les patineurs de St-Omer s'y rendaient volontiers dans les fortes gelées ; de là ce dicton populaire : " Les Audomarois vont aux Grandes-Indes à Dunkerque. " (10) M. Eudes. (11) J. Desnoyers. Bulletin de la société de l'histoire de France. Histoire des Flamands du Haut-Pont et de Lyzel par Henri Piers. | MIE(SS-Z)E Désiré Eugène (25594I)
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| 6071 | On explique par le fait que sur les rives de la Petite-Rivi?ere d'Yamachiche il pousse des aulnes en grande quantit?e. Jean-Baptiste Lesieur ayant ?etablit sa demeure sur les bords de cette rivi?ere, ses fr?eres et ses amis le d?esignaint toujours sous le nom de Jean-Baptiste "des aulniers". La tradition de famille s'accorde avec cette version. Source: Jean-Claude H?ebert | LESIEUR Jean Baptiste (I17171)
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| 6072 | On ne connaît pas à la famille Cortyl de principe d'anoblissement et on ne voist pas qu'elle ait pris part en 1789 aux assemblées de la noblesse de la région. Charles-Louis Cortyl et son fils, Charles Ferdiant né à Bailleul en 1827, marié en 1859 à Mlle de Norbécourt, demandèrent le 22 octobre 1859 l'autorisation de joindre régulièrement à leur nom patronymique celui de : DE WYTSHOVE que portait leur père et aïeul. Ils furent autorisés le 14 décembre 1860, par jugement deu tribunal civil d'Hazebrouck, à faire rectifier les actes de l'état civil dans lesquels leur nom de Cortyl n'était pas suivi de celui de : DE WYTSHOVE. Le second d'entre eux, Charles Ferdinand, n'a eu que deux filles ; Principales alliancfes : de Parcevaux 1850, LIOT DE NORBEFOURT 1859, GUYON DES DIGUERES 1851, DE WOLBOCK 1883, DE COUSSEMAKER 1666. | CO(U)RT(I-Y)(L) DE WYTSHOVE Charles Ferdinand (36757I)
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| 6073 | Ondial?er?eth?e, La victoire du feu Grand-Chef de la Nation Huronne-Wandat de 1844 ?a 1870 | ROMAIN Simon (I185183)
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| 6074 | Ont ét témoins au mariage : François ROUSSELLE, 24 ans cultivateur, domicilié à Houlle, Martin Célestin FLANT, 35 ans ménager, domicilié à Moulle, beau-frère au mariant, Pierre Joseph BRUNELOT, 25 ans ménager, domicilié à Moulle, frère germain de l'époux, Antoine LOuis NEUVILLE, cultivateur âgé de 70 ans, domicilié à Serques, oncle maternel de l'épouse. | Famille: VASSEUR Pierre Joseph / BRUNELOT Marie Caroline Adèle (293846U)
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| 6075 | ontrat de mariage 2J10 90R (collection Béthencourt) | TAFFIN Marie Anne (112956I)
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| 6076 | ontrat de mariage du Gros de St Omer du 04/03/1712 Antoine DENIS Me maréchal en cette ville fils à marier de feus Henri et Antoinette BAYART assisté de Jacques LEMAIRE son bel oncle mari de Marie Françoise DENIS et du Sr Antoine DESGARDINS marchand en cette ville son parrain d'une part. Marie Antoinette BOUVART fille à marier d'Antoine fille à marier d'Antoine laboureur demt à Esquerdes et de feue Adrienne LEMAIRE assistée de son dit père, de Jean Louis BOUVART son frère germain et du Sr Pierre François LECOINTE maride Petronelle BOUVART sa cousine germaine d'autre part. Portement du future mariant : il lui appartient la moitié dans une maison et héritage située en cette ville en la rue des bouchers contre Anne Joseph DENIS sa sœur à qui l'autre moitié appartient, sur laquelle est due une rente de 625livres en capital due à Anne CALOINE. Item lui appartient deux mesures de bois fief aux terroirs de Bayenghem et Seninghem, sans y comprendre autre demi-mesure qui appartient à sa dite sœur pour son droit de quint, item trois quartiers de terres situées au plouich et sa part dans un pré à osiers contenant trois quartiers ou environ situé à Glominghem lez Aire et au surplus déclare apporter à ce mariage ne meubles meublant marchandises outils de son métier et dettes actives, déduction faite des dettes passives par estimation 625 livres. À l'égard d'icelle, son père promet lui fournir aussitôt ce mariage consommé 275 livres en deniers clers et une rente de 125 livres en capital et en cours annuel de 7 livres 10 sols due par les héritiers Jean DECLETY et Jeanne DEGERVOIS. La mariante déclare lui appartenir une mesure ou environ de terre de la succession de sa mère. Blog de Jobris, Joel Brismalin | DE(R)N(I-Y)S Antoine (190626I)
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| 6077 | ontrat de mariage n° 256 année 1712 du 25.06.1712 | Famille: THI(E)BAU(LT-T) Marc / TARTAR(E) Marie Anne (289985U)
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| 6078 | ontrat de mariage n° 73 année 1773 | Famille: CAP(P)EL(LE) Jacques Joseph / RAMBUR(E) Marie Marguerite (294320U)
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| 6079 | Ordonn?e pr?etre le 09 septembre 1814 Secr?etaire de Mgr Panet ?a Rivi?ere-Ouelle 1814-1817 Cur?e ?a Caraquet avec desserte de rivages immenses 1817-1824, et desserte ?a Tracadie 1818-1823 Cur?e ?a Loretteville 1824-1835 Voir sa notice biographique dans le Dictionnnaire biographique du Canada Cur?e et grand vicaire ?a Trois-Rivi?eres 1835-1852 avec desserte ?a Cap-de-la-Madeleine 1835-1844 ?Ev?eque de Trois-Rivi?eres 1852-1869 | COOKE Thomas (I166357)
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| 6080 | orthographe au mariage : CHEVAL autre orthographe : DESCHAMPS en 1671 (mariage) | Famille: DESCAMPS Arnould / QUEVAL Françoise Marguerite (301785U)
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| 6081 | ou 10 janvier 1758 à Laires ? | Famille: BONGE Louis Joseph / VESSE Marie Louise (321013U)
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| 6082 | ou 16/2/1794 Mouchin | PAYEN Jean Baptiste (228715I)
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| 6083 | ou 1739 à vérifier | (H)ACQ(UE) (LE) Marie (47670I)
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| 6084 | ou 1750 | REANT Marie Françoise (44696I)
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| 6085 | ou 1762 | CARRE Anne (205186I)
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| 6086 | ou 18 avril 1689 , Izel les Hameaux | Famille: STOP(P)E Eustache Joseph / BEAUVENTRE Jeanne Marguerite (324141U)
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| 6087 | ou 1808 | Famille: CLARAC Paul / AZEMA Marie (339512U)
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| 6088 | ou 1870 | Famille: MALAVELLE Jean Baptiste / RAYNAL Anne Marie (274477U)
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| 6089 | Ou 26/01/1861 St Vincent | Famille: SICARD Jean / CATUSSE Marie (307942U)
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| 6090 | ou 28 5 1861 | Famille: FRION Clément Louis Adolphe Benjamin / LEROY Joséphine Elise Adeline (320347U)
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| 6091 | ou 28/10/1693 Saverdun | Famille: CLARAC Antoine / FORT Marie (313058U)
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| 6092 | ou 3 | Famille: ZEGRE(S) Jean / MASSEMIN Antoinette (265298U)
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| 6093 | ou 31 mars 1947 - Pitgam | DESMIDT Noël Lucien (230203I)
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| 6094 | ou Bioule | BREIL Jeanne Thomase (161568I)
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| 6095 | ou décédée le 2 mai 1754 à l'age de 65ans | CORDIE(R-Z) Marie Isabelle (141931I)
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| 6096 | ou décedée le 23/01/1754 à 79 ans | DAR(C)Q(UES) Marie Pétronille (142032I)
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| 6097 | ou décembre | FLAN ( C, D, T ) François Joseph (230939I)
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| 6098 | ou le 23 10 1814 fretin 59 | DUJARDIN Constance Josephe (198794I)
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| 6099 | ou Marthes | Famille: LEGRAIN François Marie / LEGRIS Marie Julie (300647U)
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| 6100 | ou Moulle à vérifier | Famille: GOGIBUS Louis / BOUTOILLE Pétronille (284339U)
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