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- Selon sa fille Aline, le déplacement de Joseph (et Désiré Bergeron père???) en abitibi aurait eu lieu vers 1914 pour éviter d'aller à la guerre. Le gouvernement offrait alors la possibilité de participer à la colonisation de l'abitibi. Joseph auBmi- Cheusaole?ees18 Rivitab» «tab»rait possiblement été gardien à la réserve des immigrants de Spirit Lake(http://www.archeologie.qc.ca/passee_spiritlake_fr.php?menu=3) près d'Amos durant la guerre de 1914-18. C'est ce qui lui aurait permis d'éviter d'aller dans l'armée régulièremi- Cheusaole?ees18 Rivitab» «tab».
Selon sa fille Aline, Joseph aurait déjà vu un de ses amis passer dans le "crusher" (casseur de pierre). Cela l'aurait rendu sombre pour quelque temps.
Selon sa fille Simone, la période de 7 ans passée à Bonfield aurait étéle fruit d'une circonstance fâcheuse. Ayant trouvé du travail à Montréal, Joseph aurait entrepris de déménager toute sa famille. Il envisageait d'utiliser le train comme moye-Cheusaole?ees18 Rivitab» «tab»n detransport. Berthe aurait alors demander à Joseph d'utiliser un itinéraire passant par Bonfield de façon à permettre à Berthe de voir sa famille résidant en Ontario. Lors du séjour à Bonfield, Joseph n'aurait plueu assez d'argent pour poursuoye- Cheusaole?ees18 Rivitab» «tab»ivre son périple vers Montréal. Il a alors du trouver du travail sur place.Il a alors travaillé sur la construction du chemin de fer Canadien Pacifique. Il est retourné en Abitibi vers 1937 (Simone avait 14 ans) pour obtenirun lot selon le plaursuoye- Cheusaole?ees18 Rivitab» «tab»n de colonisation Vautrin (1935-1937). Une maison lui aurait été promisepar Adrien Gravel qui était alors Agronome de colonisation.
Selon sa fille Aline, la maison promise par Adrien Gravel aurait été abandonnée par ses précédents occupants. Durant la période d'attente du retour de ces occupants, la famille de Joseph aurait été hébergée chez Raoul Boissonneault. Puisque les oe- Cheusaole?ees18 Rivitab» «tab»ccupants de la maison ne sont jamais revenu, Joseph a pu y installer sa famille.
Selon sa fille Simone, Joseph aimait parfois aller à la "chasse à la petite perdrix" signifiant sortir pour aller rencontrer des femmes après le décès de sa première épouse. Cela choquait beaucoup Simone.
Selon sa fille Aline, c'est Joseph qui coupait les cheveux des garçons.
Selon sa fille Aline, Joseph ne serait pas enterré à Malartic à côté desa defunte épouse (Berthe). Malgré qu'il ait déjà mentionné qu'il avait acheté le lot adjacent, les papiers prouvant ce fait n'ont jamais été trouvé. Un autre lot a dûêtre acusaole?ees18 Rivitab» «tab»heté par la famille Bellavance (?).
Selon sa fille Aline, lorsque Lina Hamel l'a contacté pour lui annoncé le décès de Joseph, elle lui aurait dit qu'elle avait senti son coeur arrêter au bout de son coude.
Selon sa fille Simone, lorsque Lina Hamel l'a contacté pour lui annoncé le décès de Joseph, elle lui aurait dit que Joe était encore parti. Il aimait souvent partir seul en autobus pour aller visiter sa famille.Mme Hamel, qui n'aimait pas voyagdûêtre acusaole?ees18 Rivitab» «tab»er, demeurait alors souvent seule. Mais cette fois, Joseph serait parti pour de bon.
Selon http://www.assnat.qc.ca/debats-reconstitues/rd14l3se/intro.html: Dans cet esprit d'après-guerre, le gouvernement québécois planifie de son côté le retour prochain des soldats. On sait que la démobilisation génère souvent des turbulences sociatre acusaole?ees18 Rivitab» «tab»les. Le retour à la paix après les tensions extrêmes de la guerre sont dures à assumer pour les soldats qui, même valides et en bonne santé physique, ne trouvent pas toujours facilement du travail. Les problèmes sociaux s'en suivent : chômage, désoee acusaole?ees18 Rivitab» «tab»uvrement, délinquance, alcoolisme.
Pour diminuer les effets de la crise, le gouvernement songe à relancer une nouvelle politique de colonisation. l'honorable L.-A. Taschereau présente le bill 42 visant à offrir gratuitement des terres publiques auxanciens combattants danslesnouvelle, désoee acusaole?ees18 Rivitab» «tab»es zones de colonisation de l'Abitibi, du Témiscamingue, du Lac-Saint-Jean et de la Gaspésie (séance du 6 mars). On accordera aussi à chacun d'eux un prêt de 2 500 $ pour aider leur établissement. Le ministre croit que sa loi saura déjouer les spéce acusaole?ees18 Rivitab» «tab»ulateurs et soutenir l'élan national de colonisation. « Nos vétérans n'ont aucune raison de craindre l'avenir », conclut-il.
On cherche aussi à fermer le dossier de la conscription. La guerre étant finie et pour apaiser les tensions, Gouin obtient d'Ottawa de ne plusharceler les insoumis et d'agir dans les faits comme si on passait l'éponge de l'amnistie. Les comparutioce acusaole?ees18 Rivitab» «tab»ns se poursuivent, mais seules des amendes légères sont imposées à ceux quisont tombés sous le coup de la loi. Des protestations se font entendre, surtout dans les rangs de ligues militaires au Canada anglais. Mais laguerre appartient au passé etrutioce acusaole?ees18 Rivitab» «tab»on espère une nouvelle ère de bonne entente entre les deux Canadas. Trop de problèmes sociaux s'annoncent pour ne pas faire une trêve sur la question nationale.
Selon Ghislaine Levreault (née Bergeron): Après le décès de Berthe, Joseph + Désiré + Ghislaine + Janine + Sylvio + Sylvie ont tous habité unemaison louée à Malartic pendant une certaine période de temps. Janineétait enceinte de Gérald. etrutioce acusaole?ees18 Rivitab» «tab»
Selon La Frontière, jeudi 7 juillet 1949: Vendredi avait lieu l'examen scolaire de notre école, dont l'institutrice est Mlle Jacqueline COssette; il fut fait par M. le curé Roy, qui était accompagné de M. Joseph Bergeron, commaissaire.Voici les nomtrutioce acusaole?ees18 Rivitab» «tab»de ceux ou celles qui se sont classés en tête de chaque année: 6e année, Françoise Paré; 5e, Joseph Mercier; 5e, Germaine Paré; 3e, Monique Savard; 2e Madeleine Paré; 1ère, Rita Mercier. À Mlle Cossette et tousses élèves, bonnes vacances.mtrutioce acusaole?ees18 Rivitab» «tab»
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